sexta-feira, janeiro 06, 2006

Ils ne le quittent pas, ils ne l'ont même pas connu:(.

Maria,
Dei aulas aos meus meninos. Casa quase cheia, a próxima frequência ainda vem longe. Já não sei porquê, citei a letra do Ne me quitte pas. Apenas um deles sabia que a canção fora composta pelo Brel:(((((((. Eu sei, eu sei, avec le temps tout s'en va, dizia o meu querido Ferré. E o francês, para eles, é uma língua só um bocadinho menos morta que o aramaico! Mas faz pena. E medo... Quando parto em associação livre pelas minhas referências, nas mais diversas áreas, sinto-me como um morto deixado para trás por engano, o meu mundo não é deste mundo. O quê? Eu disse mundo e não Reino, ainda não estou psicótico! Estavas a brincar, não gostas de me ouvir assim. Pronto, não estou assim, estou assado. Porque a tristeza é contagiosa e seria criminoso apagar esse teu sorriso, que me encanta e salva. Et d'ailleurs..., si toi, tu ne me quitte pas, je me suis nas tintas para tudo le reste:).
Maintenant vou travailler. Sousa, traga la limusina!

70 comentários:

Olhar disse...

NE ME QUITTE PAS
(Jacques Brell) La Chanson:))))))

Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendues

Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le coeur du bonheur

Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Moi je t'offrirai
Des peles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumiére
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine

Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Je t'inventarai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
Des ces amants-là
Qui ont vu deux foiss
Leurs coeurs s'embraser
Je te racontrai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te racontrer

Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

On a vu souvent
Rejaillir le feu
D'un ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas

Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Je me vais plus pleurer
Je me vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Dansser et sourire
Et à t'écouter
Chanteer et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Olhar disse...

Non publique pas la prémière letre de la chanson parce qu'elle n'avait pas la "cadence correct de las paroles, s'il vos plait...:)))

Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
A coups de pourquoi
Le cœur du bonheur
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants-là
Qui ont vu deux fois
Leurs cœurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

On a vu souvent
Rejaillir le feu
D'un ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
A te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.

Olhar disse...

Ups!!!!, Oh lálá.....:)))))

Anónimo disse...

...delicious

Tilangtang disse...

deve ser feliz essa "tua" Maria

Olhar disse...

Et pour n'oublier jamais...:)

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
On oublie le visage et l'on oublie la voix
Le coeur quand ça bat plus s'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin faut laisser faire et c'est très bien

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
L'autre qu'on adorait qu'on cherchait sous la pluie
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard
Entre les mots entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
Avec le temps tout s'évanouit

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules
A la Galerie Farfouille dans les rayons de la mort
Le samedi soir quand la tendresse s'en va toute seule

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume pour un rien
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
Devant quoi l'on se traînait comme traînent les chiens
Avec le temps va tout va bien

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard surtout ne prends pas froid

Avec le temps...
Avec le temps va tout s'en va
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
Et l'on se sent floué par les années perdues

Alors vraiment
Avec le temps on n'aime plus...

Léo Ferré

mtc disse...

Il n'en est pas question!!!! :))

De mon côté, je puis vous dire que depuis les si longues mois que "j'habite" ici...je ne vous quitterais jamais:)))

D'abord, il y a toujours Marie:))
Il faut pas l'oublier...

E já que estamos numa de "franciu":

ET MAINTENANT

Gilbert Bécaud

Et maintenant, que vais-je faire
De tout ce temps que sera ma vie
De tous ces gens qui m'indiffèrent
Maintenant que tu es partie

Toutes ces nuits, pourquoi, pour qui?
Et ce matin qui revient pour rien
Ce coeur qui bat, pour qui, pourquoi?
Qui bat trop fort, trop fort

Et maintenant que vais-je faire
Vers quel néant glissera ma vie
Tu m'as laissé la terre entière
Mais la terre sans toi c'est petit

Vous mes amis soyez gentils
Vous savez bien que l'on n'y peut rien
Même Paris crève d'ennui
Toutes ces rues me tuent

Et maintenant que vais-je faire
Je vais en rire pour ne plus pleurer
Je vais brûler des nuits entières
Au matin je te haïrai

Et puis un soir dans mon miroir
Je verrai bien la fin du chemin
Pas une fleur et pas de pleurs
Au moment de l'adieu

Je n'ai vraiment plus rien à faire
Je n'ai vraiment plus rien...


Je vous souhaite à tous une bonne soirée:)

Julio Machado Vaz disse...

Parbleu!, que le Maralhal parle bien:)))))).

andorinha disse...

Olá a todos.

Júlio,
Não tem que ficar tristonho, o Ferré tinha razão. As referências deles são outras...
Mas ainda bem que tem a Maria para desabafar.:)))
Marie, la douce Marie!:)

Anónimo disse...

Boa tarde
Eu devo ser daquelas felizardas que teve como primeira língua estrangeira, na escola preparatória, o francês e ainda hoje me lembro do livro em que aprendi, que tinha como primeiras frases o eterno "Bonjour Nicole. Bonjour Michel. Ici c'est Patapouf (le chien)".
Não vivo sem Brel, Becaud, Piaf, Aznavour, Daho, etc, etc e pasmo pelo mundo desconhecido de música francesa que passa no canal da Cabo. Teria dificuldade em escolher entre a Portuguesa e a Marselhesa, qual o hino mais bonito. "Eles" nem sequer têm noção do mundo desconhecido que existe por aí!!
Continue professor porque nos vai lembrando a nós e mostrando a eles como há um mundo para além dos MP3 e afins.

Raquel Vasconcelos disse...

Também não deixa de ter a sua piada olhar para uma garota de 11 anos e dizer: eu ouvia isto aos 4 anos.
"Mas isto é novo!!!" Responde ela a olhar para o Crazy Frog com o Popcorn... (eu acabara de entrar na sala na parte da música em que há menos misturas...)

Gosto de ser um animal de passado, sempre à espera que este "ne me quitte pas"! Eles não vão deixar de dizer bué, e "nós" de gostar de música francesa.

Anónimo disse...

Look, I know I look like I'm french, but I'm not:

Sur le pont d'Avignon,
L'on y danse, l'on y danse,
Sur le pont d'Avignon
L'on y danse tout en rond.
Les beaux messieurs font comme ça
Et puis encore comme ça...

Les belles dames font comme ça...

Les officiers font comme ça...

Les bébés font comme ça...

Les bons amis font comme ça...

Les musiciens font comme ça...

Et les abbés font comme ça...

Et les gamins font comme ça...

Les Laveuses font comme ça...

Anónimo disse...

Pronto. Já pus o cd a tocar. Vcs não me deixaram alternativa. Tinha de ouvir de novo como se fosse a 1ª vez. Estou usufruindo.

E este post vem apoiar o que se vinha falando no anterior sobre miúdos do antes, do depois e do agora. A Andorinha diz que as referências deles são outras. Mas, algures neles, há um vazio. Ainda não consegui detectar bem o quê, mas há.
Falta-lhes a luta por um ideal, que seja deles, genuíno, mas um ideal.
Quando JMV diz que "o meu mundo não é deste mundo" é porque falta o interface. Dos seguintes, claro, que deixam o passado isolado sem perspectiva de se lançar no futuro.

Olhar disse...

Et maintenant..., un petit peut du post.:)

"Quando parto em associação livre pelas minhas referências, nas mais diversas áreas, sinto-me como um morto deixado para trás por engano, o meu mundo não é deste mundo."

Ora Professor..., o que é isso? Eles são uns garotos professor, nasceram cresceram e beberam realidades diferentes..., as suas referências são mais parecidas com as dos pais deles, ou seja, com as de alguns de nós...:)))))))

Anónimo disse...

Français, encore un effort pour être républicains !!

Marquis de Sade

Anónimo disse...

Portuguais, encore un effort pour la débâcle.

Madama Vanesse

Anónimo disse...

Retomando as viagens de ontem neste blog, como encontrar noutra língua uma capacidade tão enigmática e simbólica como a que Mallarmé usou no seu “Au seul souci de voyager”, ao usá-la para descrever a viagem de Vasco da Gama, sugerindo que as motivações do português seriam as de ir "Au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau” e ao evocar lugubremente o “Fuir là-bas! “ do seu poema "Brise marine” (in http://www.unice.fr/AGREGATION/souci_voyager.html)

Au seul souci de voyager
Outre une Inde splendide et trouble
- Ce salut soit le messager
Du temps, cap que ta poupe double

Comme sur quelque vergue bas
Plongeante avec la caravelle
Ecumait toujours en ébats
Un oiseau d'annonce nouvelle
Qui criait monotonement
Sans que la barre ne varie
Un inutile gisement
Nuit, désespoir et pierrerie

Par son chant reflété jusqu'au
Sourire du pâle Vasco.

(in http://poesie.webnet.fr/poemes/France/mallarme/12.html)

Anónimo disse...

Bom princípio de fds!;]

Eu deixei de falar ao meu "Tozé" pouco antes do motim das borbulhas e de outras enfermidades. ;]

Quando penso no "Tozé" (faço votos que não sejam tendência de parafilias inconscientes!LOOOL) associo o nome a um cão, vejam só!- ´matéria-prima não falta!


Até ao café!

Anónimo disse...

La chanson des vieux amants

Bien sûr nous eûmes des orages vingt ans d'amour c'est l'amour fol
Mille fois tu pris ton bagage mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau et moi celui de la conquête.
Mais mon amour, mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore tu sais je t'aime.
Moi je sais tous tes sortilèges, tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de piège en piège, je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte finalement finalement
Il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adultes
Ô mon amour, mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore tu sais je t'aime.
Et plus le temps nous fait cortège et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères on laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau mais c'est toujours la tendre la guerre.
Ô mon amour, mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore tu sais je t'aime?

Pamina disse...

Boa tarde.

O post fez-me lembrar o sujeito do Big Brother que leu "fait divers" como "faite daivers", à inglesa (claro, como é que havia de ser?).

Actualmente, segundo a lei, as escolas podem escolher, em teoria, como língua estrangeira para o 5º e 6º anos, francês, inglês ou alemão, mas na prática 90/95% das escolas escolhem inglês. O Ministério estimula esta orientação, não abrindo vagas no 2º ciclo para professores de francês. Os alunos e os pais estão satisfeitos. Muitos pais pensam até que é pouco útil ter francês no 3º ciclo e prefeririam, em vez, Educação Tecnológica (trabalhos manuais) com mais carga horária, como até à última revisão curricular. É o sinal dos tempos. Para quê estudar outras línguas, se hoje em dia, desde a informática até aos filmes, tudo é em inglês? Nesta visão utilitarista, naturalmente, a cultura que se lixe.

JMV, nada de tristezas. Não é o único dinossauro.:)

Para não destoar, bon fin-de-semaine pour tous vocês et à depuis.

VidaSénior disse...

Um modesto contributo para que todos possamos ter acesso à obra deste grande, enorme e inesquecível autor-compositor belga.
Brel...toujours

"Ne me quites pas"
Jacques Brel

Não me deixes. É preciso esquecer.
Tudo pode ser esquecido, o que já se foi...
Esquecer o tempo dos desentendimentos e do tempo perdido
Saber como esquecer essas horas que matavam
por vezes com golpes de porquês
o coração da felicidade.
Não me deixes

Vou oferecer-te pérolas de chuva vindas de países onde não chove.
Vou cavar a terra mesmo depois da minha morte
para cobrir o teu corpo de ouro e de luz.
Vou criar um lugar onde o amor será rei,
onde o amor será lei e onde serás rainha.
Não me deixes.

Não me deixes.
Vou inventar-te em palavras sem sentido que tu comprenderás.
Vou falar-te desses amantes que verão duas vezes
os seus corações inflamarem.
Vou contar-te a história desse rei,
morto por não te ter encontrado.
Não me deixes.

Já se viu várias vezes
ressurgir o fogo de um vulcão antigo que se julgava demasiado velho.
Há terras queimadas que dão mais trigo
que as melhores colheitas de Abril.
E quando chega a noite, o preto e o vermelho não se casam
para que o céu se abrase.
Não me deixes.

Não me deixes. Não vou mais chorar. Não vou mais falar.
Vou esconder-me aí para te ver dançar e sorrir,
para te ouvir cantar e depois rir.
Deixa-me ser a sombra da tua sombra,
a sombra da tua mão,
a sombra do teu cão...
Não me deixes...
Não me deixes...
Não me deixes...

(tradução livre)

River disse...

Boa tarde a todos!
Prof. viva!

Há mt que ñ vinha aqui, e estava com mt saudades... mas a minha vida pessoal e profissional não tem permitido. (deixo esta nora pq me apeteçe, e pronto! :D provavelmente estarão vc a borrifar-se pra minha ausência! :))))

Agora, em relação ao post do Prof.: Mas afinal é bom ou mau viver "agarrado" ao passado?!?!!
Afinal, aquela máxima "quem vive de passado é museu" ñ é nada assim?!?!!!

Eu cá, penso que o passado ´do passado só devemos tirar o que ajudar a melhorar o presente o futuro! De resto, fica arquivado! ;)

BOM fim-de-semana pra todos!

River disse...

Boa noite

Estava com mt saudades do Murcon…
Há mt que ñ passava aqui “à séria”, ultimamente tem sido só de “passagem”, a minha vida profissional e pessoal ñ tem permitido mais que isso 
(Vc podem até estar perfeitamente a borrifar-se pra isso!  mas aqui ficou a minha explicação!)

Caro Prof, e restante maranhal:
Mas afinal, é bom ou mau viver “agarrado” ao passado???
E aquela “máxima”de: “quem vive de passado é museu”, faz ou ñ sentido?!?!!!

Eu pessoalmente, tento tirar apenas do passado aquilo que posso usar “construtivamente” no presente e no futuro!
De resto, faço mt “arquivo”!
Ñ gosto de viver em nostalgia… (Deve ser uma “defesa”…)

Bom fim-de-semana a todos!
(vou aproveitar pra ouvir uma musiquinhas dos anos 80!!!  ehehehheheeh!!!)

River disse...

ops! Desculpe lá Prof!
(Este cansaço ainda me mata! bolas!!)

Nem reparei na "moderação dos comentários! E "postei" 2 mt idênticos, partindo do principio que o 1º ñ tinha ficado gravado!!!

Tenho mm que descansar no fds!

Vera_Effigies disse...

Boa noite!
A Maria ficcionada ou não, é já uma presença que se sente no Prof.

Prière païenne
Paroles et Musique: Jacques Brel 1956

N'est-il pas vrai Marie
Que c'est prier pour vous
Que de lui dire je t'aime
En tombant à genoux
N'est-il pas vrai Marie
Que c'est prier pour vous
Que pleurer de bonheur
En riant comme un fou
Que couvrir de tendresse
Nos païennes amours
C'est fleurir de prières
Chaque nuit chaque jour.

N'est-il pas vrai Marie
Que c'est chanter pour vous
Que semer nos chemins
De simples poésies
N'est-il pas vrai Marie
Que c'est chanter pour vous
Que voir en chaque chose
Une chose jolie
Que chanter pour l'enfant
Qui bientôt nous viendra
C'est chanter pour l'enfant
Qui repose en vos bras

N'est-il pas vrai Marie ?
N'est-il pas vrai Marie ?

Qual o homem que não gosta de Marias?! São boas amigas, ouvintes, cumplices, dedicadas, atenciosas e meigas. Esta definição está feita pela rama :o)
Quanto ao post qualquer Maria puxaria as orelhas ao nosso Prof por este desabafo "Quando parto em associação livre pelas minhas referências, nas mais diversas áreas, sinto-me como um morto deixado para trás por engano, o meu mundo não é deste mundo. " Por isso não se admire se as sentir arder.

Um abraço
MJ

Vera_Effigies disse...

"Ils ne le quittent pas, ils ne l'ont même pas connu:(. "

Et on n'oublie pas... N'est ce pas Prof?

"On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni ces départs ni ces navires
Ni ces voyages qui nous chavirent
De paysages en paysages
Et de visages en visages
Ni tous ces ports ni tous ces bars
Ni tous ces attrape-cafard
Où l'on attend le matin gris
Au cinéma de son whisky"
(...)Jacques Brel

Não podemos esquecer
Ou fingir que não existe
O que nos fez crescer
Nos deu o ser que existe.

Não temos que ter vergonha
De idolatrar nossos idolos
E avivar-nos a memória.
Cada tempo tem história.

Não podemos permitir
Que que nos roubem o deleite
de saborear sensações
Presentes ou passadas.Ruminações.

Liberdade é (con)viver
Com passado, com presente
E com futuro se houver...

Lá estou eu de novo.
Um abraço.

Julio Machado Vaz disse...

Maralhal,
Desculpem o atraso da publicação dos comentários:(. Vim para Cantelães e parei no Victor de São João de Rei. Foi uma catástrofe abençoada, que bacalhau!:).

Anónimo disse...

"Bien sûr tu pleures un peu moins tôt je me déchire un peu plus tard."
Tinha de destacar esta frase, porque todas as relações a viveram.
Sobre se devemos ou não ficar agarrados ao passado, julgo ser uma questão falsa. Não se trata de dever. É vida. O nosso passado é nosso património tal qual a nossa carga genética. Não temos de viver no passado. Mas não podemos deixar de o conter no nosso futuro.

andorinha disse...

Júlio,
Sendo assim, está mais do que desculpado.:)
Mas essas "provocações" são só para nos fazer inveja, confessse lá!:)
Que tal marcarmos para aí a almoçarada seguinte?

Anónimo disse...

Incontornável a adopção. Quanto encantamento existe neles!… Quanta melancólica e ternurenta nostalgia nos invade ao assistirmos às suas múltiplas metamorfoses.
São os nossos meninos, SIM. Nem eles o sabem quanto!
Partilhamos o sabor das suas pequenas glórias mas também, penosamente, impotentes mas inconformados, a dor, o abandono, quantas vezes a descoberto na sua forma bruta. São de outro tempo… somos de outro tempo. Mas a idade abrandará o degrau. Alguns saberão desfazê-lo num plano inclinado e saborear a descida. Também nós poderemos apreciar o trilho que abrem mesmo à nossa frente. E que não se pense que não têm objectivos, sonhos, ou refinados gostos! Eles ainda não tiveram tempo, isso sim, para os precipitar em lindos cristais.

Anónimo disse...

River- Bom regresso. Fazia aqui falta!

Vera_Effigies disse...

Está perdoado. (mas n se livra da minha "inveja")
:)))))))

andorinha disse...

Sical,
Não tenho assim uma visão tão negativista da juventude actual.
Infelizmente a vida não está muito para "ideais" e eles sentem isso desde cedo.:(

Lusco_fusco,
"Qual o homem que não gosta de Marias?! São boas amigas, ouvintes, cúmplices, dedicadas, atenciosas e meigas."
Isso não é uma definição do maralhal feminino?:))))))))

River disse...

Ora ora Prof.!
Desculpadissimo! :)
Com um bacalhau desses também eu!!!

"curta" mt o seu ar do acmpo, que eu farei o mesmo!!!

A Menina da Lua disse...

Isto é mesmo alternado Professor; um dia um post para o divertido , outro dia nem tanto...

De facto tambem me fez ficar um pouco triste ao ler estas suas palavras; porque o Francês é tambem para mim uma referência cultural importante, pelos pensadores, pelos poetas pela musica...eu sei lá. E de repente ninguem fala nem sabe Francês... para mim é um pouco estranho.

"...sinto-me como um morto deixado para trás por engano, o meu mundo não é deste mundo." Esse será mesmo aquele sentimento que nos assiste quando o mundo que vivemos e acreditámos "ser" passa a ser outro e que nem memória restou para ser lembrado...(claro que estou a carregar no tom)O Francês ainda é uma língua viva e com brilho; só que passou de estrela a cometa:))).

Anónimo disse...

Sr. Doutor:

A limusina... levou-a a Maria.

Chamo um taxi para os dois?


*-*-*-*-*-*-**-*-*-*-*-*-**-*-*-*-*

Anónimo disse...

Em 2003, Brel
25 anos após a sua morte dolorosa, Brel poderia escrever uma bela canção carregada de ironia... e pa editora resolveu faze-lo.

Duas edições especiais - uma especial (2CD) e outra especialíssima (integral de 16 CD), a bem da verdade - foram editadas e trazem com elas 5 canções inéditas, que o cantautor condenou ao esquecimento por testamento, pois não as considerava merecedoras de edição no estado em que se encontravam.

Não percam esta preciosidade!

Anónimo disse...

Boa noite!!!
Tive o cuidado de fazer a tradução de français para "potuguais", porque "mon Dieux de la France done mois de la pacience", para aturar "les murcons a parlar en francience".
|--------| : significa os meus "comprimentos" ao Professeur e a todo "le monde" ;)

Anónimo disse...

Sento-me! Talvez todos nós de vez em quando nos sintamos assim...velhinhos!

Les vieux

Les vieux ne parlent plus ou alors seulement parfois du bout des yeux
Même riches ils sont pauvres, ils n`ont plus d`illusions et n`ont qu`un
cœur pour deux
Chez eux ça sent le thym, le propre, la lavande et le verbe d`antan
Que l`on vive à Paris on vit tous en province quand on vit trop longtemps
Est-ce d`avoir trop ri que leur voix se lézarde quand ils parlent d`hier
Et d`avoir trop pleuré que des larmes encore leur perlent aux paupières
Et s`ils tremblent un peu est-ce de voir vieillir la pendule d`argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui dit : je vous attends

Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s`ensommeillent, leurs pianos sont
fermés
Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter
Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop
petit
Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit
Et s`ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide
C`est pour suivre au soleil l`enterrement d`un plus vieux, l`enterrement d`une
plus laide
Et le temps d`un sanglot, oublier toute une heure la pendule d`argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, et puis qui les attend

Les vieux ne meurent pas, ils s`endorment un jour et dorment trop longtemps
Ils se tiennent par la main, ils ont peur de se perdre et se perdent pourtant
Et l`autre reste là, le meilleur ou le pire, le doux ou le sévère
Cela n`importe pas, celui des deux qui reste se retrouve en enfer
Vous le verrez peut-être, vous la verrez parfois en pluie et en chagrin
Traverser le présent en s`excusant déjà de n`être pas plus loin
Et fuir devant vous une dernière fois la pendule d`argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui leur dit : je t`attends
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non et puis qui nous attend.

Jacques Brel

Ana Elias disse...

"Estavas a brincar, não gostas de me ouvir assim. Pronto, não estou assim, estou assado. Porque a tristeza é contagiosa e seria criminoso apagar esse teu sorriso, que me encanta e salva."- Esta é a parte do post que mais me deliciou. Sinto nela o carinho e a ternura, e a intimidade próprias de um amor maduro (não necessariamente de gente madura).

E isso é bom e bonito.

E amar é bonito e intemporal, é também uma aptidão de todas as gerações.

O homem que me ama, que não é especialmente romântico, com quem casei quando ainda eramos muito miúdos, o que se passou há já 9 anos, sendo que ainda somos de uma geração que utiliza com regularidade o "bué", mas ainda aprendeu francês, disse-me hoje: "Acho piada às mulheres em geral. Mas a ti acho-te ainda mais do que às outras. Agradas-me pequena!"

E o meu filho, que ainda não lê português, e muito menos francês, diz-me "viamo-te 40 e 19", sendo que 40 e 19 corresponde ao maior número do mundo lá na sua contabilidade.

Isto tudo para dizer: Com francês, sem francês, com bué, sem bué, com Brel ou sem ele, tenho uma fé imensa nas gerações vindoras, tal como tenho na minha que em tempos até foi apelidada de "rasca"

Helena disse...

:)*

Moon disse...

Hello, Hello!

Inglês, of course!
Que de francês só mesmo o básico. Ainda consegui traduzir (inteligir) o do post, uf...!

Então mas que é isso, professor????

"si toi, tu ne me quitte pas, je me suis nas tintas para tudo le reste:)"

Não fosse a Maria (pelo que pude
perceber) virtual e esta Maria começava já a ficar muiiiittttoooo zangada.

Et nous???? Le Maralhal?
Ai, ai, ai...
Está-se a esquecer de uma verdade (relativa) mas verdade.

"avec le temps tout s'en va..." Oui, talvez... Mas não o Maralhal, não o Maralhal!

Maria São Miguel disse...

... "Ne me quitte pas" perdeu-se no sabor efémero do "curtir" que em poucos instantes " tout s'en va" para outra Maria... siga a cena... fico com os chocolates, deixo a limusine... maintenant [também] vou travailler! :)

Maria São Miguel disse...

... "Ne me quitte pas" perdeu-se no sabor efémero do "curtir" que em poucos instantes " tout s'en va" para outra Maria... siga a cena... fico com os chocolates, deixo a limusine... maintenant [também] vou travailler! :)

Moon disse...

P.S. Aqui em casa também houve jantar de Reis, em família (muita!).
Ameijoas para entrada, bacalhau com natas de seguida e fruta laminada de sobremesa. Nada de catástrofes... Já não me lembrava de comer morangos tão deliciosos há muito. Nem em Maio quanto mais em Janeiro, estranho...
Pelos vistos nem tudo "s'en va avec le temps" ;)

Anónimo disse...

Boa noite a todos !
Lá tive eu de ir ouvir a musica! :)
Não que não conhece-se ... só não tinha a letra assim toda na ponta da língua!!
Também já me aconteçeu com um aluno meu ... o ano passado quando faleceu o Álvaro Cunhal falava eu nesse dia, já nem me lembro bem porque, que com a morte de Álvaro Cunhal era uma página de história importante do nosso país que se virava ... e um aluno olhou para mim e disse mas quem é esse senhor?? e passada a fúria de que esta geração esta cheia de gente ignorante que nao sabe nada da história Lusa ... parei e pensei ... pois não esse aluno só tem 11 anos a geração dele é outra com outras personalidades outra historia ... ou nem por isso !!
Um bom fim de semana
Abraços e sorrisos
Ana Afonso

A Menina da Lua disse...

lotus azul

"Estavas a brincar, não gostas de me ouvir assim. Pronto, não estou assim, estou assado. Porque a tristeza é contagiosa e seria criminoso apagar esse teu sorriso, que me encanta e salva."- Esta é a parte do post que mais me deliciou. Sinto nela o carinho e a ternura, e a intimidade próprias de um amor maduro (não necessariamente de gente madura)."

Tem toda a razão...só alguns é que o conseguem, muito poucos mesmo...e é isso que os torna muito especiais e únicos...

Anónimo disse...

Andorinha

Os tempos não estão para ideais? Se não os há, não estão. Faltam ideais pelos quais poderiam lutar. Fé na juventude tem de se ter, senão não há futuro, e essa é uma visão que não conseguimos ter, a falta de futuro. Mas há um vazio, algures. As próximas transformações, evoluções das sociedades hão-de clarificar isto.

Anónimo disse...

E a propósito leia-se a análise que o Vasco Pulido Valente faz no Público sobre o fluir do tempo.

Anónimo disse...

Never, jamais, em tempo algum!

Anónimo disse...

Sr. Dr. :
Como ainda dorme ruidosamente, tratei de arrumar as laranjas e todas as oferendas que o sr. João e a D. Paula costumam trazer-lhe.
Vou comprar-lhe o Jornal.

O sr. Doutor deveria ter mais cuidado e não se atirar assim ao bacalhau.


Vou de bicicleta!

Anónimo disse...

Depois de 3 galos, e do relógio digital ter sido mecanicamente desligado sobrevive este:
tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-TICCCCCCCCCCCCC-GRRRRRRRRRRRRRRRR
TRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII- Bonjour!

Vá lá! O dia está lindo e já vai a meio! ;]

Julio Machado Vaz disse...

Sousa,
O que seria de mim sem os seus cuidados? Faça o favor de levar a outra limusina, então para que temos duas na garagem?:)

Anónimo disse...

(o sr. Sousa saiu e ainda não voltou)

Anónimo disse...

Ana Afonso

De facto, para uma criança de 11 anos, o Álvaro Cunhal é uma personagem que não faz parte da sua vivência, e que até já estava no inactivo quando ele nasceu, pois já só flutuava a lenda.
Todavia é um facto que a ignorância grassa no seio da juventude e não só. Os jornalistas são um bom exemplo visível, ou audível, ou simplesmente lido.
Mas o que me fascina não é só a ignorância de não se saber algo, mas também a ignorância correlativa e dedutiva. Dou um exemplo. Num 3º ano de História da Universidade, em História Económica, acerca da importância de económica de determinados barcos holandeses no século XVIII, um aluno rapidamente disse: era o Hovercraft, não era? Também outro disse que, em Roma, os censores eram oficiais romanos que andavam de porta em porta a fazer o aumento da população. Não sei o que o Noise dirá sobre esta nobre e esforçada profissão, mas denuncia não a ignorância de uma base de dados, mas a incapacidade de relacionar e de deduzir. Esta ignorância é que me assusta, e esta é que é a causa da “falta de produtividade” portuguesa.

Vera_Effigies disse...

Boa tarde!
Prof
Vou recarregar baterias ;-)Vou direccionar este "esqueleto", accionar as flutuantes e rumar á minha ermida.
Afinal já não o "invejo", só quando voltar.
Um abraço
MJ

Anónimo disse...

Ana Afonso
(12:59 AM)

Conhecesse e não "conhece-se"; aconteceu e não "aconteçeu".

Ando por aqui, meus amigos :)

Anónimo disse...

Sr. Doutor,
De limusina, até ao virar da esquina?
Não seria muito mais saudável, como tão bem sugeriu o Sr. Sousa, de bicicleta?
Que ostentação. Nem parece seu:)

andorinha disse...

Boa tarde.

ameninadalua,
Tens toda a razão - só alguns é que o conseguem e é isso que os torna muito especiais.
É pena que não haja mais gente assim, não é?:)

Sical,
Acho que percebeste o que eu quis dizer...:)
E não contesto que haja um vazio, aguardemos o que o futuro nos reserva.

Até mais logo, gente.
Aproveitem bem o resto do dia!:)

Julio Machado Vaz disse...

Sical,
O artigo exibe a lucidez quase habitual. Mas trai uma ternura pouco frequente no VPV:).

CêTê disse...

Por falar em analfabetismo... vim ver em que paravamm as modas e quando não é o meu espanto que voltei a ter estatuto de Blogger! Pois bem... Vou "postar" só para ver o meu nome a azulito!- Bom Jantar!;]
PSD- Oh professor, convide lá o Sousa, e conduza-o hoje o Sr. A Maria dele havia de gostar! ;]

A Menina da Lua disse...

Professor

Eu tambem quero um Sr. Sousa assim...Tipo "Fada Madrinha"; "Anjo da Guarda" ou "Génio da Aladim". Será que se compra? duvido!...:)))

Aproveite bem esse "ar de campo...e de paz" por aí em Cantelães e tenha um Bom Fim de Semana!

a disse...

Sou da geração que não domina a língua francesa, mas compreendo-a muito bem, mas não parlo! Nesta passagem de ano, estive numa conversa a 3 (1 francês, um português e eu, portuguesa) e foi muito engraçado, porque o francês falava francês connosco, nós falávamos inglês com ele e entre nós português!

Ouço alguma música francesa, j'aime beaucoup!

Vera_Effigies disse...

Olá!
Estou de volta. Foi muito bom ;-)
Um frio cortante, seco e agreste que tão bem conheço e para o qual tenho protecção natural. É esse ar que expurga todos as nuvens, nevoeiros e neblinas que me assombram. Estou renovada. "Cabritinha" á solta de penedo em penedo a pastar olhinhos.
Tenho já o frango caseiro (pica no chão) no tacho. Hoje a ementa é arroz de cabidela (pena ter de ser eu a fazê-lo).
São servidos? Ihihihihi
Bom jantar!
Até mais logo
MJ

andorinha disse...

Lusco_fusco,
Não podes continuar a vir aqui fazer inveja ao maralhal.:))))))))))
Esses passeios, o frango caseiro...e eu que adoro arroz de cabidela!
Ainda vou a tempo do jantar???:)

Vera_Effigies disse...

Andorinha
Xiiii
Podias vir ainda sobrou :)
Olha, numa próxima, ou então podemos encomendar á Mindinha ;-)
Beijo

Bird disse...

Oh c'est si beaux retourner aux mots de Brel...
Et voir qu'il y a pas mal de gens qui connaissent les chansons.
Pour la jeunesse, et oui, pour eux, il faut inventer une façon de leur faire gouter à la poésie des mots dites en français. Est-ce si dificille que les profs de français ne réussissent pas à leur faire tomber amoureux de cette langue??
Et bien, si pour le portugais c'est ce qu'on voit...
Félicitations pour votre apport...

Bird disse...

e ainda gostaria de o felicitar pelo facto de filtrar as mensagens do seu blog, porque quando vim a última vez estava incontrolável...

LR disse...

“Monsieur le professeur
Já vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous aurez le temps...”

Ces gens qui vous écoutent
Petits savants en herbe
En verité s’en foutent
Des vieilles chansons de texte

À quoi bon leur parler
À quoi bon leur offrir
Ces perles, d’un collier
D’une mer inconnue?

Ils n’ont guère de tristesse
Ils chantent d’autres choses
Hâtés, pleins de sagesse
Le monde a son nombril

Monsieur le professeur
d'autres temps, d'autres moeurs
Ils vont gagner le monde
Sans souci, sans malheur

Pas de temps pour donner
Pas de temps pour souffrir
Pas de temps pour pleurer
Pas de temps pour douter

A quoi bon leur apprendre
Les clés de nos jardins
Pour sentir ses parfums
Il faut plus qu'être jeune

Ce sont d'autres mystères
Ce sont d'autres drapeaux
C'est nous qu'on exagère?
Ou eux qui nous emmerdent?

Ce temps qui nous avale
C'est un con! Un salaud!
On le tue, on le hais
Le peuple aura sa peau!

noiseformind disse...

Numa altura em que ou andámos a sorrir desmesuradamente ou então dizem-nos para "ir ao psi" parece-me que esse teu reflexo condicionado, Boss, é dispensável. ; )
A Maria amar-te-á mesmo cabisbaixo, mesmo taciturno. Amar não é amar sem O Outro Lado da boa disposição. Amar não é amar sem presenças tristes, sem momentos sombrios. E o place displacement (um dos meus tracadalhos favoritos da Terra do Tio Sam) parece-me um sinal de que o nosso mundo são as pessoas que o carregam (repara como evitei o epítemo "ainda") looooooooooool na sua memória.
Ainda há quem conheça Morin, ainda há quem tenha lido Sartre, ainda há quem não goste de hip-hop ; )))))))) neste haver ainda existe o nosso mundo, que tb é feito de cimento e pedra mas foi com a memória que jogámos essa existência. Em tal sítio fazia-se tal coisa, agora já não se faz e o sítio até pode estar ainda lá, mas já passou. Eu ainda sou do tempo em que se carregava a erva para o gado num carro de bois (pachorrentamente puxado no caso do meu avô por uma vaca), ainda sou do tempo em que não havia internet, ainda sou do tempo em que toda a minha família nunca tinha passado da 4 classe. Sim, é verdade, muito muda no decorrer da nossa vida desmesuradamente longa entre a média da vida animal. Somos animais que vivem muitos anos, e esse tempo longo permite-nos assistir aos nossos lugares deixarem de ser nossos, o nosso modus operandi deixar de ser predominante ou pelo menos identificável ou pior ainda, já não ser hype ; )))))))))))

Eu ainda sou do tempo em que uma rapariga fumar era motivo para uma chapada leste da parte do progenitor, ainda sou do tempo em que o alcool era a "miracle drug", vivi o período crítico em que o Portugal dominantemente brando se abriu a toda a dureza do mundo. E a toda a sua liberdade. Ainda sou do tempo em que o Windows cabia em 10 diskettes (sim... ocupava 14.4 MB no disco looooooooooool), ainda sou do tempo das diskettes de 2.5HDD, as outras, as maiores.

E no entanto... esse tempo passou, e novos tempos vieram... e como está ali a dizer a Adriana na aparelhagem ao lado...

"E o mundo não se acabou" ; )))))))))